Les filles, solide leader

Petit week-end à  la veille des congés de la Toussaint, d’autant plus que les garçons seniors de l’équipe n’ont pas eu à se déplacer à Epinal, leurs adversaires ayant déclaré forfait.
Samedi matin, ce sont 10 équipes de poussins qui ont envahi la salle des sports pour y disputer crânement leurs chances. A ce jeu,  les espoirs de Sainte-Marguerite ont particulièrement brillé, mais les Déodatiens et les Forfelets leur ont opposé une belle résistance. De beaux espoirs, c’est certain.

Le coup passa si près !

Battus 84-82, les garçons de l’équipe fanion ont failli réaliser un bel exploit contre une équipe de Sainte-Marguerite formée de « vieux briscards » habitués aux joutes de pré nationale, voire de nationale. Très adroits à distance, les visiteurs ont mené de bout en bout contre des Forfelets appliqués, tenaces mais qui ont raté trop d’occasions favorables pour contenir leurs adversaires. (...)

Second bon week-end : pourvu que cela dure !

Deux victoires pour les équipes de seniors garçons et filles, plus deux bons tournois pour les plus petits : poussins à Golbey et mini-poussins à la maison.
Ce sont les mini-poussins qui ont ouvert les débats à Corcieux, contre leurs camarades de Saint-Dié, Ste Marguerite, Granges et Gérardmer. Les deux équipes concoctées par Joël ont joué huit rencontres et en ont remporté sept, avec une seule défaite de deux points. Ils ont terminé en tête en montrant pour la plupart de belles qualités « baskettiques ».

Bons débuts de nos équipes

Deux rencontres, deux victoires, que demander de plus à nos joueurs et joueuses ? Pourtant, au vu des deux rencontres, nous restons sur notre faim. Garçons et filles ont su nous gratifier, la saison passée, de meilleures prestations et sont donc capables de mieux faire. A leur décharge, rappelons qu’il s’agissait de matches de reprise qui sont rarement les meilleurs malgré la valeur de la préparation. A signaler aussi, l’absence d’arbitres officiels, obligeant notre club à parer au plus pressé avec des bonnes volontés que l’on doit remercier mais qui n’avait pas le métier des hommes du sifflet. (...)